Sexe, pratiques et statistiques
Le rapport à la sexualité que nous entretenons comme les envies et les préférences qui nous accompagnent sont autant de traits qui nous sont propres et qui évoluent au cours du temps et de notre épanouissement. Ce sont des variables essentielles qui nous définissent mais qui nous séparent aussi. A une extrémité se trouvent ceux qui se considèrent comme asexués et qui revendiquent l’amour sans aucune forme de désir charnel. A l’autre extrémité, ceux pour lesquels le sexe est une chose omniprésente qui les guide et oriente leur quotidien, et qui repoussent constamment leurs limites dans la recherche du plaisir. Il n’y a pas vraiment de normalité en la matière, plutôt des positionnements individuels différents et surtout souvent parfaitement incompatibles. Mais à défaut, on peut quand même établir qu’il y a des comportements et des pratiques généralisées et que l’on peut considérer comme standard, comme par exemple la fellation et le cunnilingus pratiqués sans doute aujourd’hui par quasi tout le monde. Ce n’est pas difficile de comprendre qu’il est plus facile de tomber sur une fille qui suce que sur une fille qui nous urine dessus.
Voici donc aujourd’hui une rétrospective sur les pratiques et habitudes sexuelles des filles avec lesquelles j’ai couché durant les cinq premières années de l’exercice de ce blog. Pour ce qui est des détails, je ne parlerai pas nominativement, pour préserver un peu d’intimité d’une part, et parce que c’est moins le fait de savoir qui a fait quoi que la variété de l’expression sexuelle d’un point de vue plus général qui m’intéresse d’autre part. Depuis le début en avril 2003 jusqu’à la fin de ma relation avec Annie en juillet 2008, j’ai couché en tout et pour tout avec dix filles, pour un total d’un peu plus de trois ans et demi de relation cumulée. Dix filles dont je vous ai pour toutes conté la relation (exceptée une, parce que passée en dehors du schéma des sites de rencontres). A ceux qui pensent à tort que j’enchaîne les histoires, vous conviendrez qu’une moyenne de deux filles par an, c’est excessivement peu !
Bien sûr, loin de moi l’idée d’imaginer que les statistiques que je vais établir sur mes relations puissent être représentatives de quoi que ce soit sinon de mon expérience personnelle : j’ai couché avec bien trop peu de filles pour pouvoir prétendre en dresser un tableau universel des goûts sexuels. Mais pour autant, les filles que j’ai rencontrées, de profils et de styles différents, ne sont pas des cas à part à même de fausser toute idée possible de la réalité. Ce sont des femmes – parfois très classiques – ancrées dans leur époque. Alors, si ce n’est pas une enquête nationale, voici tout au moins un certain regard sur les pratiques sexuelles des femmes, que vous pourrez confronter à votre propre expérience ou à l’idée générale que vous en avez.
Pour commencer, voici dans l’ordre la liste complète des filles avec lesquelles j’ai couché entre avril 2003 et juillet 2008 et dont vous pourrez retrouver les histoires en fouinant dans mon historique des rencontres :
Des femmes aux profils et aux physiques différents : entre autres une journaliste, une auxiliaire médicale, une hôtesse d’accueil, une informaticienne, une manager de magasin, une instit’, une prof’, une étudiante… Une antillaise, trois blondes, une métisse franco-sénégalaise, une berbère, une métisse franco-marocaine… Quel mix !
En matière de sexe, dans les grandes lignes, qu’est-ce qu’elles aimaient faire ou pas ? A quoi étaient-elles ouvertes ? Si j’ai de la mémoire, elle a tout de même ses limites et, prévoyant depuis plusieurs anneés d’écrire un jour ce post, j’avais pris la précaution en son temps de prendre quelques notes. Grand bien m’en a pris ! Voici donc les proportions de celles qui étaient ouvertes ou appréciaient différentes pratiques :
Pour l’anecdote, une seule sur les dix a réuni toutes les caractéristiques à la fois.
L’idée pour un couple d’être en phase sexuellement passe moins par la performance au lit que par une similitude dans les envies et les préférences individuelles. Bien sûr, on peut, chacun, évoluer en fonction des goûts de l’autre, on peut s’inspirer mutuellement pour tendre à une certaine symbiose dans le plaisir et son expression. Mais je pense en revanche qu’il y a de grandes incompatibilités à même d’interdire un entier épanouissement entre deux personnes. Pour prendre l’exemple de la fellation, s’il y a de toute évidence des filles qui la refusent par blocages psychologiques ou parce qu’elles n’ont pas eu jusque là la possibilité de s’épanouir mieux dans leur vie sexuelle (auxquels cas c’est corrigeable), je pense qu’il y en a d’autres qui n’aiment vraiment pas ça, sans qu’il n’y ait de raison particulière à cela. Elles n’aiment pas le principe de la fellation, comme d’autres n’aiment pas le café. Elles n’aiment pas le geste ni les fantasmes qui y sont rattachés. Bien sûr, c’est leur bon droit. Mais un garçon pour qui le sexe oral fait partie des éléments de base du plaisir sexuel ne pourra jamais trouver son compte avec une telle fille. Et si lui n’a pas à accepter de brimer son épanouissement sexuel, ce n’est pas plus à elle de se forcer à faire des choses qu’elle n’apprécie pas plus que cela. Ce n’est pas pour rien que l’on parle du sexe comme d’une communication charnelle : Le sexe est une langue vivante dont les multiples pratiques sont des lettres uniques. Quel plaisir retirerais-je à écrire des articles en m’interdisant d’utiliser la lettre « a » puisque celle-ci fait partie de mon alphabet ?!
Cela vaut donc pour beaucoup de choses : il y a des filles qui n’aiment pas le cunnilingus plus que ça parce qu’elles prennent du plaisir essentiellement par la pénétration. Inutile de relever à quel point ça peut être conciliable avec un garçon que le cunnilingus dégoûte un peu ! Mais dans la configuration d’une indifférence non partagée, c’est plutôt une certaine forme de frustration qui guette l’un, en particulier la fille qui en plus de devoir se passer de cette caresse peut garder une impression résiduelle d’être potentiellement sale aux yeux de son partenaire. Difficile de ne pas se retrouver face à un sentiment d’inassouvissement, tant le plaisir sexuel passe par la variété de l’expression qu’on a envie de lui donner.
C’est aussi l’expérience qui ouvre l’horizon de nos désirs. J’avoue que j’aurais beaucoup de mal aujourd’hui à envisager une relation sérieuse avec une fille poilue, qui trouverait dégoûtant qu’on lui éjacule dans la bouche, qui serait insensible du derrière et qui ne supporterait pas de se faire attacher. Et même pour une seule de ces choses.
Après ce grand tableau général, place aux anecdotes savoureuses ! Au-delà des points communs que nous pouvons avoir dans notre approche générale de la sexualité, nous avons tous des différences physiques et des particularités dans notre expression corporelle, autant de petits détails intimes plus ou moins singuliers qui marquent nos partenaires dans les bons comme dans les mauvais souvenirs. Les filles concernées dans ce post ne dérogent donc pas à la règle.
Commençons par quelques lieux communs : toutes les filles n’ont pas la même souplesse. Je me souviens d’une qui avait beaucoup de mal à ne serait-ce que ramener ses jambes sur elle une fois allongée sur le dos et qui ne pouvait pas tenir longtemps comme ça. Alors que chez une autre, je pouvais sans problème lui remonter les genoux jusque sous les aisselles sans que ça l’empêche encore de tendre les jambes. Quel délice de voir ainsi son sexe exposé ! De la même façon, toutes les filles ne mouillent pas non plus autant et les différences de l’une à l’autre peuvent être vraiment importantes. L’une de mes rencontres ne mouillait quasiment pas (obligeant à mettre du gel) ou seulement un peu lorsque l’on ne s’était pas vus depuis plusieurs jours. Mais il lui fallait une grande excitation et des jours d’abstinence. Alors que d’autres mouillaient presque à volonté tant qu’elles étaient excitées et stimulées. Au point que ça puisse commencer à couler autour de leur sexe. Pour un garçon (ou moi en tout cas), un tel état est divin et profondément aphrodisiaque.
Il m’est arrivé parfois avec certaines filles, lorsque nous faisions l’amour, de remarquer quelques problèmes « techniques » liés à une pénétration trop en profondeur. Je ne sais s’il s’agit d’une histoire de profondeur du vagin ou de sensation lorsque l’on vient à buter contre le fond mais il y a des filles avec lesquelles il fallait que je fasse particulièrement attention en particulier dans certaines positions pour ne pas que je leur fasse mal. Alors qu’à l’inverse, chez d’autres, je pouvais y aller aussi violemment que je voulais et dans tous les sens, ça ne leur donnait que plus de plaisir. Voilà quelque chose de potentiellement embêtant, susceptible de nous empêcher de nous lâcher complètement.
Pour ce qui est de l’approche de l’orgasme chez les filles, de l’orgasme en lui-même ou de l’après coup, là aussi, les différences sont considérables dans l’expression comme dans le besoin. Si chez certaines, avoir un orgasme n’était pas forcément une nécessité absolue, d’autres me le réclamaient presque comme un homme a besoin de jouir pour ne pas se sentir frustré. Côté expression physique, deux filles, lorsqu’elles montaient en plaisir, s’agrippaient violemment à tout ce qui leur tombait sous la main : elles arrachaient mes draps, se cramponnaient à mon matelas comme si elles voulaient le déchirer, ou m’attrapaient moi et me lacéraient les épaules et le dos de leurs ongles, en étant absolument incapables de se contrôler. J’avoue que c’est une manifestation de plaisir intense qui est très excitante. Une autre ouvrait ses yeux tous ronds et me fixait droit dans les yeux avec une telle intensité qu’accompagnés de ses gémissements, elle me donnait l’impression que je l’attaquais. Sa façon d’être la rendait très excitante. Pour ce qui est de l’expression orale, il y a celles qui gémissaient de manière classique mais non moins plaisante en de sensuelles et sonores expirations dont le rythme et la tonalité variaient en fonction de l’intensité de leur plaisir. Mais une autre, elle, pendant ses pics de plaisir, pleurnichait littéralement comme une petite fille que l’on vient de gronder ! Une autre par contre se mettait à hurler sur un ton absolument monocorde, et, tenant la note comme une perceuse électrique, me perçait au passage les tympans au point de m’obliger à m’arrêter parce que le volume sonore était sincèrement insupportable en plus de me faire craindre que les voisins appellent la police. Ce n’était franchement pas excitant. Ce n’est pas que je lui donnais un plaisir si fou que je faisais exploser ses cordes vocales, c’était juste la manifestation de son état naturel de forte excitation. Une autre fille, elle, avait besoin de sucer son pouce (c’est une habitude dont elle ne s’était pas débarrassée depuis l’enfance) pour se sentir au mieux et se détendre pour tendre vers l’orgasme. Ce n’est pas hyper glamour non plus, il faut vraiment avoir envie de se taper un bébé. Pour ce qui est d’atteindre l’orgasme, je me souviens d’une qui ne pouvait pas, qui n’en avait jamais eu et qui ne savait pas vraiment ce que c’était. Je n’ai jamais réussi, même avec de la patience et des essais, à lui en donner un, malheureusement. Chez une autre, l’orgasme était suivi d’une phase réfractaire pendant laquelle je ne pouvais plus lui toucher ni le sexe ni la pointe des seins, devenus hypersensibles et douloureux (alors que la minute d’avant, elle pouvait m’implorer de lui pincer fermement les tétons). Au contraire, une autre fille, elle, pouvait avoir sans problème cinq ou six orgasmes d’affilée pour peu que je continue à la stimuler, et sans aucune baisse manifeste d’excitation entre chaque. Comment pourrait-on ne pas adorer ce talent ? D’une part c’est très excitant d’avoir l’impression que sa partenaire est insatiable, d’autre part elle reste pleinement excitée si on n’a pas encore joui et c’est bien plus agréable comme ça. Je me souviens d’une dernière qui, juste après avoir eu un orgasme, pouvait avoir des propos un peu décousus, comme si elle venait de fumer un pétard. C’est très amusant !
Ces filles avaient toutes bien sûr une expérience sexuelle différente. Parmi ces dix, l’âge de la « première fois » la plus jeune était le jour de ses 13 ans pour l’une. Celle de la plus vieille était de 25 ans pour une autre. Un écart de presque le double ! Une autre encore avait déjà expérimenté avant 20 ans le sexe à trois avec un garçon et une fille, mais également avec deux garçons. Le sexe à trois (avec deux filles) reste d’ailleurs un de mes grands fantasmes que je n’ai pas encore eu la chance d’expérimenter (snif).
Généralement, les filles que je ressentais comme épanouies sexuellement n’étaient pas dégoûtées par leurs propres sécrétions. Par contre, très curieusement, ce n’est pas toujours celles qui avaient le plus joli corps qui étaient le plus à l’aise avec. Les filles sont souvent complexées alors qu’elles ne le devraient pas. Et une fille pas forcément très bien fichue mais qui assume son corps est toujours plus sexy qu’une autre à la belle plastique mais qui ne sait pas en user. Je me souviens d’une avec une jolie silhouette élancée, de divines jambes, une jolie taille cambrée qui mettait en valeur ses fesses appétissantes, mais incapable de se déshabiller autrement que comme si elle était en visite chez le gynécologue. C’est quand même sacrément antisexe (sauf si je suis déguisé en gynécologue).
Au-delà de toutes ces spécificités plus ou moins appréciables, il en reste d’anodines qui sont quand même potentiellement embêtantes pour moi. Il y a par exemple des filles qui ne supportent pas de dormir toutes nues et qui veulent porter au moins une culotte. Mais qu’est-ce que c’est que ça ? Pourquoi pas une chemise de nuit, pendant qu’on y est ? Elles ont le sentiment d’être gênées ou croient, comme l’une me l’avait expliqué, que son sexe pouvait « couler » pendant la nuit et tacher les draps (et que donc c’était sale). Ce n’est quand même sacrément pas glamour de ne pas pouvoir serrer nos corps entièrement nus l’un contre l’autre pendant que nous nous endormons. Et je préfère largement une fille qui garde ses chaussettes que sa culotte. Pire que la culotte sans doute : le somnifère ! Je suis aussi tombé non pas sur une fille qui m’endormait avec ses propos mais qui avait pris l’habitude de carburer aux somnifères pour pouvoir s’endormir. Ca fait un peu l’effet d’une dépressive chronique qui a besoin de se « débrancher » pour la nuit. Une fois le cachet pris, c’est fini pour aujourd’hui. Au revoir et à demain. Ca n’est pas loin de donner l’impression de faire chambre à part.
On peut facilement imaginer que l’expression du désir et du plaisir puissent être ressentis différemment suivant notre degré d’intimité partagé et notre appréciation de l’autre. Ce qu’on pourrait aimer chez l’un, on pourrait ne pas l’aimer chez l’autre. Eu égard à sa personnalité sexuelle, comme d’ailleurs à sa personnalité tout court. Car ce que l’on connaît ou que l’on imagine de l’autre oriente aussi nos désirs et notre appréciation générale des choses. Voilà pour cette exploration intime de la sexualité des filles avec lesquelles j’ai eu une relation et dont je vous avais conté la rencontre sur ce blog.
Lecteurs et lectrices, participez à cette excitante observation des comportements et pratiques sexuelles de vos partenaires dans le fil des commentaires ! Quel âge avez-vous ? Avec combien de personnes avez-vous couché au cours de ces cinq dernières années ? Qu’avez-vous remarqué comme choses particulières parmi vos amants et amantes ? Des choses qui vous ont particulièrement plu, déplu ? Des pratiques que vous n’avez pas voulu faire ? Ou que votre partenaire vous a au contraire refusées, à votre grand regret ?
Qu’avez-vous pensé de mes « statistiques » ? Hommes comme femmes, est-ce qu’elles correspondent à votre propre expérience de la sexualité ou pas du tout ? Avez-vous été surpris par certaines choses en particulier ? Avez-vous des éléments de réponse à suggérer, des nuances à apporter ?
Mesdemoiselles, je me suis toujours demandé s’il y avait vraiment tant de garçons que ça qui étaient dégoûtés par le cunnilingus ou si c’était en partie un mythe. Alors qu’en est-il ? Comment décririez-vous les différentes manifestations de jouissance des hommes ? Qu’est-ce qui vous excite le plus dans leur attitude à ce moment-là ? Qu’est-ce que vous n’aimez pas ? Oh, dites-moi tout !!
39 commentaires :
moui mais non. Ca ne m’amuse pas.
Envie de jouer à être violée. Envie d’être attachée encore et toujours.
Je ne vais pas répondre aux questions, je n’ai pas assez d’éléments pour le faire.
Je voulais réagir sur les 44% potentiellement bisexuelles. Sur un échantillon de 10 femmes, c’est quoi les 4% ?
Bel article, j’ai hâte maintenant de lire les commentaires qui vont en découler.
@ Z… : effectivement, il faut peut-être que je le précise sur l’image. C’est que malheureusement, il me manque une seule info sur une fille et je n’ai pas voulu faire de supposition hasardeuse. Du coup, c’est la seule ligne où ma moyenne est calculée sur la base de 9 filles au lieu de 10.
Plusieurs questions :
– celle qui n’aime pas le cunni, quelle est la raison ?
– celles qui n’aiment pas la stimulation anale (sodomie ou juste avec les doigts ?), ont-elles testé avant ?
– les très passives, c’était si ennuyeux que ça ? Tu t’en es contenté finalement ?
– les potentiellement bisexuelles, ca veut tout et rien dire car il n’y a aucune certitude, non ?
J’aime beaucoup les anti-spams fruits et légumes ! Y a-t-il un rapport avec l’article ?
Je crois que, Anachose, tu nous la fais provoque ! Je suis certain qu’il y aura des commentaires (ou à défaut, des pensées) outré(e)s, que tu n’as, évidemment jamais pris de notes sur les quantités de mouille ou la souplesse de tes conquêtes, que, et je l’espère pour toi, tu sais pertinament que l’acte sexuel, diffère évidemment de la personne avec laquelle tu le pratiques mais aussi du moment de son cycle (Je parle évidemment de la gente féminine, et pas de celle de mon vélo)…
Cet article est sciemment provocateur !
En même temps, tu aurais aussi envie de nous prouver que tu ne fais pas « tout ça » pour t’amuser… Que ça ne serait pas juste pour le cul… D’ou les SEULEMENT 10 filles avec lesquelles tu as couché… Mais moi, je ne crois pas en ta quête… Et quelle quête ? Celle de trouver une fille formidable. Je crois que tu t’amuses. Ca n’empêche pas que ton blog est rigolo, intelligent et bien écrit.
Et il y a un paradoxe qui me dérange: Je fais référence à un autre article – Imaginons que tu l’as trouves cette fille formidable (car je veux bien jouer le jeu !) ? La voudras-tu fidèle ? Et le seras-tu toi même ? Car, quand même, elle m’a l’air vraiment difficile à trouver cette fille, ça serait con de la perdre pour une histoire de jambes en l’air… Non ?
Enfin… J’ai une info pour toi (et non une nympho… A priori, t’en as déjà rencontré !??) : Lorsqu’on passe beaucoup de temps avec une personne, en prenant de l’âge, en glanant de la confiance, mutuellement, l’acte d’amour évolue dans la durée… Ca je peux concevoir que tu ne le saches pas…
Je me suis bidonnée en lisant cet article, car j’ai imaginé certaines scènes et ta réaction, je pense à celle qui poussait un cri sur une même note. Rien que d’y penser, je rigole à nouveau pouahaha : une alarme!
Alors je ne vais pas répondre à toutes les questions, je risquerais de me choquer.
Mais pour quelques anecdotes pourquoi pas.
Un homme, plutôt pas mal, il enlève le t-shirt et là je découvre un tatouage énorme… de la tête de son fils, je ne t’explique même pas le malaise.
Un autre très classe, très sobre, très doux puis pendant l’acte s’est mis à hurler des insultes de fou, je me mordais les joues pour ne pas exploser de rire.
Un qui hurlait mais comme une fille, jamais vu ça, toi non plus je suis sûre.
Et puis un dernier, un corps d’athlète, beau visage, très gentil, enfin le garçon qui fait envie quoi. Première soirée chez lui, tout commence bien jusqu’à qu’il revienne avec un t-shirt bugs bunny et 2 boxers l’un sur l’autre : »mais je suis timide »
Alors pour info cher anadema, bien que je sois une adepte du dodo toute nue, sache que certaines fois c’est très désagréable d’avoir une descente « d’organe », rien de sale pour moi, juste un moment chiant que les hommes ne peuvent pas comprendre.
Les différentes manifestations de jouissance chez l’homme… Quand il tire les cheveux plus forts non? :op
Comme les femmes je pense, certains hurlent à te coller le cerveau de l’autre côté du crâne, d’autres tu te demandes s’ils ne sont pas morts en route, des violents, des doux etc.
Et pour finir, ce que je n’aime pas hum hum, ceux qui ne partagent pas et qui te prennent pour un vide couille. C’est d’un chiant mais d’un chiant puissance 10!
Comme les auteurs de précédents commentaires, j’ai bien ri en lisant ce dernier article !
Quelle idée de faire de telles statistiques… tu m’impressionneras toujours cher Anadema ! J’attends avec impatience les futurs commentaires ;)
En ce qui concerne les différentes manières de jouissance d’un homme, je pense qu’il y en a autant que pour les femmes : celui qui gémit, celui qui reste de marbre (à se demander si monsieur est toujours là), celui qui va aller vers une violence légère, celui qui va devenir tout à coup grossier (redhibitoire pour ma part), celui qui va se reternir de crier… et encore ce n’est qu’on infime échantillon puisque je ne pourrais prétendre faire une liste exhaustive à partir de mon expérience seule.
Sinon, non je ne répondrai pas à toutes tes questions, je ne veux pas te faire peur (ce serait bien triste d’être chassée de ce blog seulement parce que j’ai quelques conquêtes de plus que toi, non ? )… pour info, de toutes tes catégories il y en a une seule dans laquelle je n’entre pas. Laquelle? telle est la question.
Je reste fan, j’aime beaucoup ton style d’écriture ! Continue à nous faire rire, ça fait un tel bien…
Oh c’est nul que personne ne veuille répondre.
(de toute manière, je lui ai déjà tout raconté, donc vous ne pouvez pas le choquer plus, ah ah ah)
Je répondrai aux questions quand j’aurai le temps, histoire de montrer l’exemple, non mais.
Juste une réaction à chaud ! ;-)
Je suis très étonné du nombre de nana qui acceptent l’éjaculation dans la bouche !!! POur ma part j’ai été très très souvent confronté à des refus pour cause de dégoût du sperme (le plus fréquent) sans compter le côté assez peu safe pour la nana.
Que veut dire « stimulation anale » ? Parce que ça va du bout de l’auriculaire dans le fion jusqu’au fist anal, en passant par la très classique sodomie, comme pratique. Une explication s’impose.
L’ejaculation ds la bouche c’ est mon mode de contamination à l hépatite B favori
âge: 32 ans
Statut: en couple depuis ~2 ans.
Nbre d’amants depuis ses 5 dernières années: 28
remarques sur mes amants qui m’ont déplu:
-2 n’ont pas voulu éjaculer (dans le préservatif)—> frustration car pour moi éjaculation = orgasme
– 5 n’ont pas aimé que je n’aime pas le cunni (ça chatouille et phobie d’avoir des mycoses—> ressemble à de la morve verte; alors que ça ne m’est arrivé qu’une fois il y a 10 ans car port du string intempestif)
– 1 éjaculateur précoce qui m’a proposé son frère jumeau puisque il ne pouvait pas me satisfaire. Pb: lui aussi était éjaculator précoce ce qui m’amène à penser que ce serait une question de gène et non pas de gêne.
_ 1 m’a proposé de réveiller son copain qui dormait dans le salon pour qu’il se joigne à nous, mais impossible de faire ça sans réveiller celui de la chambre d’en face qui était très laid. Je me voyais mal lui dire « non pas toi, t’es moche » donc j’ai dit non à ce qui aurait pu être une belle aventure triolique.
_2 gars ( relation pas à trois mais séparées) équipés de mini- pénis: taille de mon petit doigt, étrangement, j’ai joui (ce qui m’arrive rarement)et étrangement, ils n’avaient pas l’air de se rendre compte de la petitesse de leur bitogniot.Tant mieux.
……Trop à raconter.
Sinon dans tes stats, il manque le % de simulation d’orgasme LOL
Bises.
J’ai lu avec beaucoup d’amusement ton article. A la lecture de ton blog, j’imaginais que tu avais eu plus de conquêtes à ton actif.
Pour ma part, 35 ans, 3 ans de célibat et une 20aines d’amants agés de 25 à 45 ans.
Je refuse l’éjaculation dans la bouche par peur des mst et cie.
Je ne suis pas très cunnilingus avec les amants de passage par peur de l herpes génital. Et, je ne prends pas vraiment de plaisir à ça lorsque je ne suis pas dans une » vraie » relation.
De toutes ces histoires je conserve le souvenir d’un seul mauvais amant. Ce qui était très dommage car c’était un homme intelligent, érudit et passionnant. Mais au lit, il n y avait rien à faire. Il était coincé et très mal à l’aise avec sa sexualité.
De même, j’en ai eu un autre qui était omnubilé par ses boules quies. Il ne pouvait pas dormir s’il n’avait pas ses fichus boules quies et son pyjama ! Un vrai tue l’amour !
La plupart des hommes que j’ai rencontrés étaient plutot attentionnés et avaient envie de » bien faire ». Souvent, j’ai eu le sentiment que les hommes se mettaient un peu la pression. Alors que moi, je vis la sexualité de façon ludique.
Ayant des origines italiennes, j’ai eu bcp d’amants italiens. Les relations sont assez différentes de celles avec les Français. Les Italiens aiment la mise en scène, aiment parler pendant l’acte, et peuvent parfois avoir un langage assez cru. Ils sont très directs et disent les choses sans ambages. C’est pour toutes ces raisons que je trouve les Français bien plus romantiques et tendres.
Aucun de mes amants ne m’a proposée de drôles de pratiques dans la mesure où je prends tjs les devants en exprimant clairement mes désirs.
« Une autre fille, elle, avait besoin de sucer son pouce »
Ca m’a fait repenser à une nana qui criait « Maman ! » quand je lui pratiquais le cunnilingus.
Et c’est assez déroutant…
Merci sandrine, bibinette et Julie pour vos anecdotes intimes sur la sexualité de vos amants, c’est très intéressant ! :-)
@ LeMéchantMax : Alors, 1- la raison que j’ai rencontrée, c’est celle que j’ai évoquée dans mon paragraphe théorique sur le cunni.
2- Pas trop ou sans doute pas comme il faut à mon avis.
3- Non. Oui.
4- Les « potentiellement bisexuelles », c’était pour englober toutes les filles qui avaient envie ou déjà eu un rapport avec une fille (et clairement ouvertes à une expérience à trois).
@ Ane au Nimes : J’ai pris des notes en son temps avant d’oublier certaines choses, pour faire mon tableau uniquement. Le reste, c’est de mémoire. La fidélité dans un couple est un long débat et mon point de vue là-dessus non définitif.
« l’acte d’amour évolue dans la durée » -> Une info pour moi ? N’est-ce pas exactement ce que je dis dans la première phrase de ce post ?
@ sandrine : Une alarme, c’est exactement ça !!
Le coup du tatouage, je crois qu’on peut difficilement faire plus antisexe : piqûre de rappel à chaque déshabillage, c’est horrible !
Je ne suis pas pour imposer le dodo nu obligatoire et je comprends bien que ça puisse avoir des désagréments. Mais bon, rien n’est sale et rien n’est grave, il suffit d’expliquer les choses et de se sentir en confiance à partager son intimité. Par contre, une descente d’organe en position allongée ? Ce n’est pas plutôt de pertes dont tu parles ?
J’ignorais qu’il y avait des hommes qui hurlaient à ce point là ! Je me demande si ça peut signifier qu’ils ont plus de plaisir que moi ? Parce que pour décrocher des hurlements, il faut quand même bien un plaisir ultraviolent, non ? Ou est-ce vraiment juste une histoire de façon d’exprimer les choses différemment ?
@ bibinette : Avec sandrine, vous êtes deux à être tombées sur des hommes « morts » au moment de jouir. C’est qu’ils ne bougent pas et ne font aucun bruit ? Et que du coup le seul moyen possible pour vous de savoir qu’ils jouissent, c’est l’éjaculation ? Ou est-ce qu’ils gesticulent quand même un peu mais sans bruit ?
Je ne suis pas fan de grossiertés non plus pour ma part mais je pense que c’est vraiment une histoire de complicité. Et je pense que je pourrais en avoir envie avec certaines filles qui le voudraient. En tout cas, ce n’est pas quelque chose qui s’impose comme ça de but en blanc, comme tout, il faut tester son parternaire progressivement.
Tu t’imagines vraiment que ça me ferait peur ? Rooo ! Je me demande vraiment quelle image je peux bien renvoyer… :-?
@ Hën : Voilà ! Inchoquable !
@ calaferte : Moi-même, par rapport à ce que je pourrais m’imaginer de la sexualité, mon chiffre m’a étonné et je l’avais même revérifié.
Pour le côté safe, tu n’imagines pas le nombre de filles que ça ne dérangerait pas trop de ne pas mettre de préservatif tout court, une fois dans le feu de l’action.
@ un passant : Je voulais simplement opposer les filles qui aiment qu’on touche à cet endroit de celles pour lesquelles c’est une zone interdite d’approche ou insensible. Sodomie, doigt… peu importe.
@ nina : Je suis vacciné.
@ Olga : Tu es tellement dans le second degré que je ne ne sais plus trop ce qu’il faut prendre ou pas.
@ Julie : Comment se manifestait concrètement que ton amant soit mal à l’aise avec sa sexualité ?
Tes boules Quiès et ton pyjama, c’est le pendant à mon somnifère et à ma culotte ! Exactement le même style de tue l’amour.
Je crois que se mettre la pression est un truc tant masculin que féminin. Les hommes ont le sentiment de devoir assurer et de devoir être des étalons. Les femmes d’être de parfaites salopes bien chaudes. Et c’est vrai qu’il faut être partculièrement à l’aise dans sa sexualité pour ne pas subir du tout cette pression. Pour les premiers rapports, quand on ne se connait pas encore bien, je préfère de loin une fille qui ne fait pas grand-chose mais qui est totalement contente et détendue plutôt qu’une autre qui se met la pression et qui a peur de ne pas me contenter. Mon plaisir passe pour beaucoup par le sien.
Très intéressante ta comparaison entre les amants italiens et français. Cela me surprend toujours qu’il puisse y avoir tant de différences entre des gens de pays si proches géographiquement et culturellement.
@ Séb : Ahahah ! Etait-ce « maman » au sens « ouh là là » ou implorait-elle vraiment sa mère ? De toute façon, c’est bien space !
« L’ejaculation ds la bouche c’est mon mode de contamination à l hépatite B favori »
Tout à fait, et je dirai à l’attention d’Anadema qu’être vacciné ne suffit pas, car il n’y a pas que l’hépatite B !
Il faut tenir compte de ce genre de risques aussi pour la fellation et le cunnilingus. eh oui !
D’ailleurs, une étude publiée récemment a relevé une corrélation entre la survenue du cancer de la gorge, et la pratique de la fellation.
enfin, libre à vous. C’est votre corps.
Mais perso ( je suis un mec, et je sais que ce que je vais dire risque de vous étonner. peut-être que vous n’êtes pas conscients que ce que vous imaginez être la norme, n’est qu’une question de conditionnement cul-turel -Merci le ciné, merci les médias ), eh bien je n’aime aucune de ces 3 pratiques, ni la sodomie d’ailleurs, et pourtant je n’ai aucun problème avec ma sexualité. Chacun ses goûts, ça ne se discute pas ( pas la peine de me psychanaliser pour autant ).
Ce qui m’irrite, c’est que la génération actuelle semble croire que ce genre de pratiques va de soit, au point d’imaginer que ce doit être une norme, et que ceux que ça dégoûte ou qui s’en désintéressent, devraient être rangés au rang de déviants, de malades qui s’ignorent, ou au mieux de complexés, rang dévolu jadis aux homos, SM, zoophiles, incestueux et autres pervers.
Ah quand je dis mort, c’est qu’il ne se passe rien, expression, corps, c’est vide quoi. Et puis impossible de savoir, il file directement aux toilettes et tout disparaît.
Je sais qu’il peut y avoir orgasme sans éjaculation mais quand même une petit mouvement quoi histoire de dire « ouh que c’est chouette » mais non rien de rien. L’égo en prend un sacré coup.
Bon allez je te raconte pour celui qui criait comme une femme, il était un peu tendance SM, plus j’étais « violente » et plus ça l’excitait… En y repensant je ris mais il y avait un certain plaisir pour une nana d’avoir une espèce de pouvoir sur l’homme.
Oui descente d’organe = perte. Le mot me gênait un peu.
@ Malika : un « mec » ? Avec un tel nom et adresse email ? Merci pour ton commentaire, du Maroc. La dernière fois que j’y suis allé, avec Léa, on s’interrogeait justement beaucoup sur ce que pouvait être la sexualité des jeunes marocains d’aujourd’hui, mais impossible d’en apprendre plus. Là où on était, il n’y avait quasi aucune femmes dans les cafés (ce qui ne doit certainement pas être le cas de Casablanca). On avait pu se rabattre sur un numéro de « TelQuel », je crois, qui consacrait sa couverture à la sexualité mais cela nous avait laissé sur notre faim.
En tout cas, je ne sais pas si tu te rends compte que tu reproduis exactement la stigmatisation que tu dénonces. Tu t’insurges contre ceux qui te jugent comme anormal(e) parce que tu n’acceptes pas certaines pratiques. Mais tu fais exactement la même chose avec eux en essayant d’expliquer que leurs pratiques le sont moins par réel plaisir que par reproduction sociale, conditionnement. Et tu te caches derrière d’absurdes « études » pour justifier ton idéologie de la normalité en matière de sexualité. Non, sucer ça ne donne pas le cancer. Pas plus que la masturbation rend sourd. Et avaler ne soigne pas l’acnée non plus. Bien sûr que la culture influe sur la sexualité, sinon nous copulerions mécaniquement comme des animaux sans fantaisie. Mais il ne faut pas oublier non plus que nous faisons notre propre culture, laquelle est une part de notre reflet. Le ciné et les médias (encore plus la publicité) se contentent globalement de surfer sur le désir majoritaire du public. Qu’il y ait un phénomène d’entraînement mutuel médias/public, je veux bien le croire. Mais penser que je lèche une fille parce que je me sens quelque part obligé de le faire, c’est fortement sous estimer le niveau de mon épanouissement sexuel.
@ Sandrine : Vraiment, un orgasme sans éjaculation, ça me paraît tenir du mythe. A moins que le garçon ait été opéré de la prostate. A moins qu’il ne vienne d’éjaculer deux ou trois fois juste avant au point d’être vidé. Mais sinon, je suis très très sceptique. Par contre, je crois savoir qu’il y a des garçons qui simulent parce qu’ils ne parviennent pas à l’orgasme (pour diverses raisons : mécanique, envie, stress, etc), ça doit bien les arranger de faire croire qu’ils ont eu un orgasme sans éjaculation !
Ah, je comprends mieux le jeu des cris, maintenant !
Pour les pertes, franchement ça me semble bien anodin. Je préfère une fille qui dort nue avec pertes qu’une autre sans pertes mais qui dort en culotte !
« Vraiment, un orgasme sans éjaculation, ça me paraît tenir du mythe. A moins que le garçon ait été opéré de la prostate. A moins qu’il ne vienne d’éjaculer deux ou trois fois juste avant au point d’être vidé. Mais sinon, je suis très très sceptique. Par contre, je crois savoir qu’il y a des garçons qui simulent parce qu’ils ne parviennent pas à l’orgasme (pour diverses raisons : mécanique, envie, stress, etc), ça doit bien les arranger de faire croire qu’ils ont eu un orgasme sans éjaculation ! »
Perso, je ne connais pas (encore) ça mais je connais une copine qui y arrive avec son copain et je peux t’assurer que son copain est tout ce qu’il y a de plus sincère.
Tout ce que je sais c’est qu’elle stimule aussi la prostate et il me semble qu’elle y arrive aussi sans.
Bon, hum, je me rends compte que ma réponse est tout sauf précise :-/
Cher Anadema,
Un modeste complément à tes savoureuses statistiques, je peux d’ors et déjà te dire que je corresponds à neuf critères sur ta liste des pratiques sexuelles, le « très passive » n’est pas pour moi, je dirais alternativement passive et active, j’ai toujours du mal à choisir, c’est se priver quand même d’une expérience, non ? :-P
Je suis partiellement d’accord avec toi en ce qui concerne l’exigeance de concordance parfaite des goûts sexuels de deux partenaires. Tu louperais l’amour de ta vie parce que tu ne peux pas l’attacher au radiateur ?! ll faut dire que ma « morale » n’est pas celle de tout le monde et que ce que je ne trouve pas chez moi (très peu de choses en fait) je vais le rechercher ailleurs. J’aurais dû passer à côté de dix-huit ans d’amour juste parce qu’il n’aime pas m’attacher ?….
Au sujet de « profondeur de pénétration », il me semble par expérience (mais je ne sais si c’est la même chose pour toutes) que tout dépend de l’excitation. Avec certains j’ai ressenti une désagréable sensation de « butée » (désolée pour le terme, rien d’autre ne m’est venu) bien que ce ne soit pas les plus généreusement membrés, avec d’autres (pas Roccoliens, quoique…) je n’en avais jamais assez, que du plaisir. En y réfléchissant je n’ai jamais eu ce problème quand j’étais très excitée et très en confiance. Mais peut-être certaines sont-elles plus grotte que caverne…. ;-)
Et puis au feu les pyjamas, les culottes, les chemises de nuit ! Vive la peau nue ! C’est tellement plus doux, plus chaud, plus parfumé qu’un morceau de tissu (je précise que j’adore respirer mon partenaire, je trouve même parfois qu’il y a bien trop de déo, de parfum à mon goût qui pertubent mon nez, je préfère largement l’odeur naturelle de chacun. Attention ! Je n’apprécie pas les fennecs et les négligés non plus !). A bas les remparts vestimentaires dans le lit ! J’adore la belle lingerie, les frou-frous, les jarretelles et les dentelles, mais uniquement pour deux choses : je me sens belle et désirable quand je les porte et…. pour qu’on me les ôte ! Déshabillez-moi….. :-)
Pour ton info il existe des hommes qui ont un orgasme sans éjaculation, si, si. J’en ai connu un qui prenait des antidépresseurs ayant ce déplorable effet secondaire. Déplorable uniquement pour moi en fait, car lui était aux anges. Ben oui, pour moi aussi orgasme rime avec éjaculation…
Un dernier commentaire : je rejoins tes constatations sur le côté « safe » ou pas de différentes pratiques. Je tiens au préservatif (si ça n’est pas une relation suivie) mais il est parfois bien difficile d’interrompre un moment passionné…. Je fellationne, je me fais cunnilingué et toute pratique dans le même genre, je ne crois pas que ce soit plus risqué que de faire de l’escalade ou de tomber en panne sur le bord de l’autoroute. Un cancer de la fellation ?!!!!! LOL ! Et les voyeurs, ils ont des cancers ophtalmiques ? Pour les sodomites, cancer de l’anus ? Et ceux qui branlettent, cancer de la main ? :-D
Voilà pour mes réflexions sur ton post, voici la suite :
Curriculum Sexae
Age : 34 ans
Déflorage à treize ans
En couple depuis dix-huit ans
Neuf amants dans les cinq dernières années dont une femme
Ce qui m’a déplu :
– celui qui veut tester TOUTES les positions (et je n’ai rien contre !), mais à un rythme de marathonien, pffffff…. on commence juste à en apprécier les nuances que c’est déjà fini ! Approfondissons les choses, que diable ! Ca serait comme tester tous les parfums existants de glace mélangés dans la même coupe…. Je lui en ai parlé, ensuite nous avons dégusté les glaces une à une. Ouf ! :-)
– celui qui croit que la seule zone érogène d’une femme est le clitoris mais ignore pourtant que c’est une contrée excessivement sensible. Ben oui, quelquefois ça peut faire mal… Le cunni, oui, mais lingus, pas ardus !
– celui qui jouit tel un éléphant barrissant, mais alors sur le mode repeat, une réplique de séisme en quelque sorte…. J’ai tout d’abord pensé qu’il simulait mais non, aucun doute, Môssieur était réellement un Pavarotti hypertestostéroné de la jouissance. Je crois que j’entends moins bien les graves depuis.
– celui qui sent l’orgasme arriver et qui se met à pétrir en cercle et très régulièrement (un vrai métronome !) les seins de sa partenaire comme de la pâte à pain en criant crescendo « c’est bon, c’est bon, c’est bon !!!! » d’une voix suraigüe. Moi ça m’a juste provoqué une crise de fou rire, après quand même un instant de « stupétrification » totale….
– celui qui refuse de t’accorder un pôv’petit cunni mais qui t’appuie insidieusement sur la tête si tu as le malheur d’effleurer son bas-ventre : le cunni c’est dégueu mais une p’tite pipe c’est pas pareil, évidemment. Je suis pour la réciprocité sexuelle. Merde alors.
– Celui qui n’a jamais pratiqué la sodomie, qui en fantasme depuis des années mais qui ne s’est pas renseigné sur le sujet. Et oui mon p’tit M’sieur, c’est comme la mécanique : lubrification sinon blocage et réparation….
Ce qui m’a plu :
– Pas un ne s’est soucié de son propre plaisir avant que moi je ne prenne le mien.
– Qu’ils se tendent, se crispent et s’accrochent à moi comme un noyé à sa bouée de sauvetage lorsqu’ils jouissent (moi j’agrippe les draps, eux, moi !). De même que l’expression de leur visage : très étrange, le plaisir ressemble étonnamment à la souffrance quand il est porté à son paroxysme. Ceci dit, mon amante avait la même expression, avons-nous tous les même traits lorsque nous jouissons ?
– Que certains dominent réellement, je ne suis pas passive mais j’aime bien parfois être leur « chose ». Petit côté SM, je sais, je sais. :-)
– Quand à force de titillements, pincements, effleurages, caresses et j’en passe, ils me font littéralement me liquéfier….. je n’ai aucune honte de mes « pertes » depuis que j’ai remarqué que ça surexcitait la majorité d’entre eux ! Et puis parlons cru mais parlons bien : moi j’aime garder le sperme de mon partenaire en moi longtemps, c’est un peu de lui et de son plaisir que je garde aussi, rien de sale ou de dérangeant.
– De voir leur air de guerrier victorieux quand je jouis, on dirait Attila en retour de pillage !Alors quand c’est plusieurs fois… Un australopithèque ramenant un bison ?! Même mon amante…. Attilette ?!
– Que certains s’enroulent autour de moi après, somnolent tout en me caressant et… recommencent ! Je dois dire que « le » plus doué pour ça était mon amante, peut-être une histoire de période « réfractaire » post-coïtale chez certains hommes ?
Quant aux différentes pratiques, je ne me suis dérobée qu’une seule fois, un très soft bondage qui menaçait de se poursuivre en scène trash, non seulement j’ai eu très peur mais en plus je n’ai aucun goût pour la souffrance.
Dans l’autre sens, si je peux m’exprimer ainsi ( :-) ), un homme a eu l’air horrifié que je lui quémande une toute ch’tite fessée…. pas joueur le garçon…. bouououuuuuuh !
Anna des Mots
P.S. Tu vois que l’on peut toujours rêver…. ;-)
Un peu de prévention qui me paraît loin d’être inutile:
Malika n’a pas entièrement tort!!
le virus HPV est un virus qui passe complètement inaperçu chez les hommes. En revanche, transmis par voie sexuelle, il est responsable du cancer du col de l’utérus de la femme jeune (c’est pour cela qu’on recommande aux femmes d’avoir un frottis tous les 2 ans). Ce qui est moins connu apparemment, c’est que transmis lors d’une fellation, ce virus augmente de plus de 30 fois le risque de cancer de l’oropharynx (ce n’est pas stricto sensu un cancer de la gorge, mais ça y ressemble suffisamment pour ne pas avoir envie de s’y frotter). Toutefois, pour rassurer tes lecteurs, ce cancer reste très rare. Il ne s’agit pas d' »absurdes études », mais d’une vaste étude épidémiologique parue dans le New England Journal of Medicine, revue internationnale avec comité de relecture (une des meilleures revues dans la monde de la recherche médicale).
Par ailleurs, il y a une recrudescence de syphilis notamment en région parisienne. Cette maladie se transmet très facilement par rapport bucco-génital…
Après quelques passages sur ce blog, et quelques commentaires avortés, je me dis qu’il y a quelque chose de glacial qui ressort de la majorité de tes posts, Anadema.
Et pourtant, ces posts restent plutôt digestes, avec une dimension humaine bien qu’assez brute, finalement.
Sur le net, il est des articles qu’on lit de la même façon quelque soit l’humeur du jour. Ton blog lui, touche « profondément » à un domaine où la sensibilité et l’humeur feront varier les réactions. Allant du commentaire standard au mime de l’outrage dans son plus simple appareil.
C’est l’idée que je m’en fais : J’ai eu des réactions aussi curieuses que presques écœurées (mais sans commenter).
Peut-être suis-je le seul, les commentaires étant souvent assez positifs ?
Sinon, j’ai pas tout lu des commentaires, mais le 4% des 44% doit représenter la probabilité que la fille manquante tombe dans la catégorie, à savoir 0.4 ?
@ LeMéchantMax : Ah mais si tu vas chercher du côté de l’orgasme prostatique, là tu triches, ahah !! Ce n’est plus de la stimulation classique du pénis.
@ Anna des Mots : Merci pour cette exquise peinture du plaisir masculin (et du tien). C’est particulièrement intéressant et profondément drôle (« un éléphant barrissant » ahahah). :-)
Le « plutôt très passive » n’était effectivement pas en opposition à « active » mais à « pas que passive », ce qui te correspond, donc.
« Tu louperais l’amour de ta vie parce que tu ne peux pas l’attacher au radiateur ?! »
-> Dit comme ça, on est bien d’accord que je ne serais pas sûr de vouloir passer à côté de l’amour de ma vie, juste pour une histoire de menottes. Mais je pense de plus en plus que les affinités ne sont pas qu’une somme de détails concordants mais beaucoup plus une réaction à un attitude globale. Je parle de sexe comme de rapport au monde ou de personnalité. Pour prendre mon exemple, je suis ouvert sexuellement. Ce qui signifie que si j’ai des préférences comme tout le monde, je ne suis a priori fermé à rien. Mon plaisir et mes envies sont fluctuants et dépendent pour beaucoup de l’autre. Je n’ai pas envie de tout avec tout le monde. Mais j’ai par contre envie d’avoir envie de tout. J’ai donc plutôt plus d’affinités sensuelles avec des filles qui sont très ouvertes aussi. A la question que l’on pourrait poser : « peut-on être une fille plutôt chaude et très expérimentatrice tout en n’aimant pas être attachée ? », j’ai envie de répondre non. En tout cas pas dans la définition que j’accorderais à « expérimentatrice » qui me semble tenir d’une certaine forme d’exploration de la perversité.
Intéressante ton expérience de la sensation de la « butée », je n’avais pas pensé à cette possibilité. Ca me paraît tout de même assez étonnant. De mon expérience en tout cas, parmi les filles qui pouvaient avoir mal, s’il y en avait dont l’excitation pouvait être partielle, il y en avait qui étaient loin d’être les dernières excitées.
On est bien d’accord sur le pyjama et le plaisir des sous-vêtements. D’ailleurs, il y a des filles qui ne le comprennent pas et qui se déshabillent toutes seules. Et hop, à poil en cinq secondes. Pfff.
Voilà un exemple possible d’orgasme sans éjaculation. J’ignorais que des médicaments pouvaient faire une telle chose, c’est fou ! Que ça ait un impact sur la libido, c’est aisément compréhensible. Mais sur l’éjaculation ! Peut-être que ça bloque la synthèse de sperme et que rien ne peut donc sortir ?
Pour le risque du sexe oral, je pense aussi qu’il est extrêmement minime. Infiniment plus infime qu’une pénétration sans préservatif (qui est déjà étonnament bas, j’en avais trouvé des chiffres : de l’ordre du dixième ou du centième de pourcent, je crois. Mais je ne dis pas ça pour minimiser le danger : c’est sur l’immense quantité de pénétrations non protégées que le VIH progresse autant dans la population française). Simplement, comme le risque existe (comme celui de gagner au loto), le « corps médical » ne peut pas ne pas le signaler. C’est un principe de précaution sur lequel il est revenu depuis les années 80 où on parlait de risque zéro pour le sexe oral.
Une amante m’avait raconté la même chose sur un mec qui voulait changer trop souvent de position. Craignant de me retrouver dans la même configuration, je lui avais demandé combien de temps c’était concrètement une durée trop courte, mais elle avait été incapable de me répondre !
Donc, tu as rencontré (au moins) un de ces fameux hommes que le cunni rebute.
C’est incroyable le nombre de mecs qui pensent que du gel pour la sodomie, c’est inutile. A cause de ça (ou grâce à, suivant le point de vue), j’ai converti plusieurs filles qui étaient persuadées que ça ne pouvait que faire mal !
La métaphore sur Attila, j’adore !
PS : tu as gagné !
@ andromaque : Puisque tu me reprends, permets-moi de te souligner (à toi et aux autres aficionados de la dangerosité de la fellation) quelques évidences (qui m’agacent) :
1- Ce n’est PAS LA FELLATION qui est la cause de cette histoire de cancer de la gorge, c’est UN VIRUS lorsque le partenaire en est porteur. Si la sodomie facilite la contamination par le VIH, ça signifie qu’un séropositif a plus de chance de contaminer sa partenaire par sodomie que par pénétration vaginale. Ca ne signifie PAS que la sodomie donne le SIDA ! Dois-je ressortir la phrase de Malika ? « une étude publiée récemment a relevé une corrélation entre la survenue du cancer de la gorge, et la pratique de la fellation. ». Phrase qui s’insère dans son processus de dénigrement du sexe oral : ça donne le cancer, c’est une perversion des médias, etc. Je parie que tu n’es pas super fan de fellation non plus.
2- Les études sur l’impact sur la santé des comportements permet de mieux comprendre le fonctionnement global du corps humain. Ca ne signifie pas qu’il faille adapter systématiquement de manière hâtive et ridicule nos comportements en fonction de toutes les études qui sortent. Exemple que je viens de vous trouver : « Un chercheur de l’unité d’épidémiologie du Centre hospitalier de l’Université de Montréal conclut que boire trop de lait pourrait causer le cancer de la prostate. ». C’est une étude qui démontre une corrélation entre la consommation de produits laitiers et le cancer de la prostate. Si je vous fais un post sur l’exquis chocolat chaud que je suis allé boire en charmante compagnie chez Angelina, je vais devoir me récolter aussi des Malika qui vont me sortir que « attention, boire du lait ça donne le cancer » ?
Parlons de chiffres puisque je suis allé en chercher : Les cancers des VADS (voies aérodigestives supérieures – dont le cancer de l’oropharynx n’est qu’une partie), ça représente environ 4500 décès par an en France. Principalement à cause du tabagisme et de l’alcoolisme bien entendu. Ca veut dire que vous avez plus de chance de mourir dans un accident de voiture au cours de votre vie que d’un cancer de l’oropharynx ! Vous essayez comme ça en permanence de dissuader vos amis d’acheter des voitures ? Il faut être cohérent et hiérarchiser le danger.
Par définition, vivre signifie prendre des risques. Quand vous faites un barbecue, vous cancérisez votre organisme. Quand vous habitez Paris, vous compromettez gravement votre santé (pollution, exposition monumentale aux maladies, danger de l’électromagnétisme, etc). Quand vous allez manger un Kebab, vous risquez de subir de dangereuses intoxications alimentaires (hygiène, péremption). Quand vous vous faites vacciner, vous vous exposez à des effets secondaires dangereux et irrémédiables. Quand vous téléphonez avec votre portable, vous micro-ondez votre cerveau. La liste comme ça est infinie.
Ca ne signifie pas qu’il faut faire n’importe quoi et que rien n’a d’importance. Ca signifie juste que TOUT a un impact potentiellement négatif sur votre longévité. A commencer par le stress et l’hypocondrie. A vouloir fuir la possibilité – même infime – du risque, votre vie cessera d’avoir tout intérêt. Le sens mesuré du risque, c’est de mettre des préservatifs, de ne pas rouler trop vite, de ne boire et de ne fumer qu’occasionnellement, et de ne pas manger de kebabs tous les soirs. Ce n’est pas rester à la maison sans baiser et sans boire, à manger des carottes rapées.
@ Lovelive : Souvent, j’essaie de relater les choses en prenant du recul (c’est l’exercice) ou en théorisant sur ce qui provoque mes impressions, peut-être est-ce ce qui te donne cette impression de « glacial » ? Peut-être devrais-tu plutôt regarder vraiment comment je me commporte dans mes relations avec les autres en parcourant les tchats ou les mails que je publie. Et ne pas t’en tenir à ma seule prise de distance par rapport à mes histoires.
Juste une petite remarque sur les éjaculations dans la bouche! Sur ton tableau 70% l’ont acceptée, cela veut dire qu’au moins une des 4 filles avec qui ce n’était pas sérieux l’a pratiqué avec toi…
Ca ne te fait pas flippé d’avoir fait un cunni, à une meuf qui accepte de recevoir du sperme d’un coup d’un soir dans la bouche?…
Qui sait ce qu’elle a fait auparavant avec sa chatte, inconsciente comme elle est! Bon’ap quoi !! :)
Débarquée ici par un commentaire sur sexactu, je commencerai par répondre à tes quelques questions, en titre de présentation !
A 21 ans, je fête tout juste mes 5 ans de vie sexuelle plus ou moins active, vu que j’ai vraiment commencé une fois étudiante. Ayant eu une relation de plus de 3 ans, le reste a principalement été des rencontres d’un soir ou deux. Au total, une dizaine de partenaires, en comptant les filles.
Au sens strict, j’ai eu peu de surprises parmi mes partenaires, car mon éveil à tout était passé par la lecture d’ouvrages divers et rarement moraux. Mes pratiques comprennent donc, souvent à mon initiative, rapports oraux et anaux, domination et soumission (dans les deux rôles) parfois assez loin, et quelques fétiches plus marginaux avec ma relation la plus longue.
Pour le plus simple, j’ai fait des fellations à tous les garçons avec qui j’ai eu des rapports vaginaux, plus un qui n’a profité que de ma bouche. Le SM avec, parfois, accompagnement d’objets a été un élément de la moitié de mes relations, et je dirais qu’également un homme sur deux a joui entre mes fesses.
J’ai toujours incité mais jamais insisté, et seulement deux hommes sur huit m’ont fait bénéficier d’un cunnilingus. Tu demandais les raisons, je pense que dans mon cas c’est simplement la situation qui ne s’y prêtait pas, mon partenaire étant souvent nu avant moi, il me prenait une fois que je l’avais suffisamment excité. Ma position souvent soumise est sans doute également en rapport.
De tes statistiques, je dirais qu’il y a plus de différences entre les femmes qu’entre les hommes. Ces derniers sont plus facilement ouverts d’esprit (de nouveau, un homme sur deux avait eu des relations homosexuelles, et quelques uns m’avaient proposé d’utiliser mes doigts ou des objets pour stimuler leur anus), et j’ai souvent été notée comme « très à l’aise pour une fille ». Peu de disparité dans les actes donc, et je pense qu’en en revoyant quelques uns, je régulariserais d’autant plus les variables sur le sexe anal et le bondage, ne serait-ce que par curiosité de leur part.
Par contre, un élément déterminant pour moi a été la confiance que je mettais en eux, le degrés de bien-être que j’avais en leur présence. Ainsi, mon histoire la plus sérieuse protesta un jour contre mes manifestations de plaisir et ne m’entendit plus jouir durant les 18 mois qui suivirent, sans mauvaise volonté de ma part. Alors qu’un quasi-inconnu réveilla toutes mes envies dès le premiers soir, et je m’abandonnai à des pratiques que j’avais toujours eu de la peine à assumer.
Il semblerait que mon message confirme ce qu’on dit des filles plus cérébrales que les hommes, n’est-ce pas ?
Enfin, leurs plaisirs… J’ai plus « étudié » l’excitation des hommes que leur jouissance, mais j’avoue avoir été très perturbée par plusieurs mois durant lesquels je devais demander à mon partenaire s’il avait joui, tant il se contrôlait même à cet instant. A contrario, les hommes qui gémissent, bafouillent, s’excusent de ne pouvoir se retenir m’ont toujours rendue dingue. Avec de nouveau une nuance, un homme sur deux a été surpris d’être rapidement excité de nouveau après l’acte, mais je ne saurais dire si cela dépendait vraiment d’eux !
Pour conclure ce long commentaire, je réaffirme donc ma volonté d’approfondir la lecture de ce blog et son auteur, que je remercie d’avoir éclairé ma journée !
A très bientôt
@ Smoke Runneuz : Je réagis sur une partie de ton commentaire seulement – par ailleurs très intéressant ! – car il fait échos à un épisode qui m’a plutôt marquée (toutes proportions gardées hein…).
« mon histoire la plus sérieuse protesta un jour contre mes manifestations de plaisir et ne m’entendit plus jouir durant les 18 mois qui suivirent, sans mauvaise volonté de ma part. »
Je suis à la fois rassurée de constater que je ne suis pas la seule à avoir eu droit à ça mais en même temps je suis clairement interpellée…
J’ai eu droit de la part d’un copain (mais pas ma Anademette adorée !) à une remarque similaire à ce que tu décris et « bizarrement » (!) à peine quelques mois plus tard je couchais moins avec lui, pour à terme ne plus du tout l’envisager. Je crois que je n’ai jamais réussi à me sentir détendue ensuite. Il se trouve que nous n’étions par ailleurs pas tellement en phase donc cette remarque a, je crois, totalement achevé le peu de possibilité d’interaction sexuelle qu’il y avait entre lui et moi.
C’est un peu comme s’il m’avait dit que j’étais dégoutante à être toute mouillée.
@encore_une_léa : Les réactions de dégout à l’humidité voir aux éjaculations féminines, j’y ai eu droit aussi… Perturbant, surtout quand c’est le même qui proteste ensuite que je ne le fais pas à volonté, juste les jours où… on est dans mes draps.
Après cette foutue Saint-Valentin « j’arrête, je ne peux pas jouir, tu me déconcentre », j’ai été frigide pendant 4 mois. Même seule pas un seul orgasme. Lorsque je l’ai quitté, il a demandé si je gémissais avec mes nouveaux amants, alors que je ne le faisais plus avec lui. Sans voir le moindre lien.
Oh, pour les cunilingus, ça a peut-être contribué : le premier garçon qui m’en a fait m’a assez vite fait comprendre que « j’avais mauvais gout ». J’ai changé mon hygiène, mon alimentation, mais le malaise était là. Je me demande si notre hôte, Anadema, a eu des réactions similaires à des remarques féminines peu valorisantes…
(et après détour sur le site, il semble que si la qualité de l’expression manque sur Adopteunmec et semblables, elle est bien présente dans les commentaires ! On a les lecteurs qu’on mérite.)
@ Smoke Runneuz : Ah ! Tu ne seras aucunement surprise d’apprendre que celui dont je parlais plus haut trouvait justement « dégueulasse » l’idée d’éjaculation féminine! Pas d’étonnement non plus si j’ajoute que lorsque je lui ai expliqué, des mois plus tard, que cette remarque qu’il m’avait faite m’avait clairement refroidie, il n’a pas compris pourquoi après avoir étrangement occulté le fait d’avoir pu dire ça…
Comme les similitudes que nous pointons du doigt sont à la fois troublantes et flippantes finalement…
Je ne suis pas en train d’abonder encore dans ce sens pour ouvrir un bureau des pleurs mais simplement appuyer le fait que cette personne – comme d’autres que je visualise d’ailleurs, je ne focalise pas sur lui par principe – avait une sorte de dégoût vis à vis des choses charnelles. Non pas une répugnance manifeste, mais une manière de les appréhender qui se situait finalement à l’extérieur, comme si le sexe était une sorte de boîte noire à l’intérieur de laquelle se déroulaient des choses à la fois un peu crado, incompréhensibles et floues (cela dit je ne sous-entends pas qu’on puisse légitimement dire pouvoir objectiver la « chose » hein…). Il n’est donc pas surprenant que les interactions se résument alors à un enchainement mécanique d’actes « homologués conformes aux us » en quelque sorte. J’ai mis du temps mais j’ai bel et bien compris qu’il était difficile de dépasser cela, à savoir un partenaire qui a ce type d’appréciations (que je crois difficilement conciliables – sinon incompatibles – avec toute forme d’épanouissement sexuel).
Et bien! Il y a beaucoup de femmes qui ont parlé, qui se sont livrées et les hommes… Ils sont où les hommes?
Alors promis Anadema, j’enlèverai plus souvent ma culotte :)
J’ai pu constater en effet aussi que certains hommes loin d’avoir de l’attirance pour d’autres hommes aimaient la stimulation anale, mais je crois, je pense, je suppose que ça reste tabou entre eux?
Non, oui, ne se prononce pas.
Disons qu’entre filles, on va plus facilement se dire ce qu’on aime ou pas et je vois difficilement les potes de mon homme se dire entre eux « oulala j’ai pris un doigt dans le fion fion c’était extra t’en penses quoi? »
Une histoire de virilité peut être? J’attends des témoignages :)
AH tu vois qu’il y des orgasmes sans éjaculation, non mais! Même les sexologues le disent sur la 5 ahah.
Je confirme aussi que parfois les expressions du visage sont étonnantes, proches de la douleur c’est vrai.
En ce qui concerne la sodomie, heu et bien j’avoue ne pas aimer ça. Pas par dégoût mais plutôt pour mon inadaptation physique à cette pratique. Je dédie ce passage à dame nature qui a décidé de me faire chier là dessus. Je suis née avec des coupures sur tout le corps et dans tous nos charmants petits trous et juste pour ça c’est impossible ou possible mais douloureux.
Ah oui le coup de la buté, je comprends, pour la partie anatomique de la question c’est le col de l’utérus qui donne cette impression.
Selon les femmes, il est plus ou moins sensible et selon les périodes aussi ainsi que les positions.
Ouaaa c’est dingue ce que le sexe peut faire parler… Mais comme on dit : »il n’y a pas que le sexe dans la vie…Il y a le cul aussi »
:)
@ Smoke Runneuz : Bienvenue sur ce blog et merci pour ta très intéressante contribution !
Pour le cunnilingus, je ne pense pas que ce soit une histoire de situation qui s’y prête. Quel que soit le degré d’excitation dans lequel on est, ça n’empêche pas de venir embrasser le sexe de sa partenaire si on en a envie, même si c’est pour quelques secondes. Mais dans le cadre d’une rencontre d’un soir ou deux, je comprends que ça puisse ne pas être une étape par laquelle on passe (on ne cherche pas forcément à tout faire tout le temps, et ça dépend aussi du contexte).
Je suis vraiment étonné par ta moitié d’hommes qui ont déjà testé des relations homosexuelles. Est-ce un hasard ? Les rencontres que tu fais font-elles partie d’un certain milieu ? Ou est-ce vraiment moi qui sous-estime la fréquence des fantasmes homosexuels chez les hommes ? Par contre, oui, l’anus est une zone érogène chez les hommes comme chez les femmes et ça n’a pas de lien avec l’homosexualité.
Ton récit sur le malaise provoqué par les commentaires de certains garçons est une très intéressante illustration de l’impact de la confiance et de la complicité dans la recherche du plaisir. On n’imagine pas à quel point une petite phrase anodine (pour celui qui la dit) peut avoir de l’influence.
Tu me demandes des anecdotes de ce genre sur des remarques de filles mais je n’en ai pas vraiment trouvées. Ce sont plutôt des attitudes que l’on vit sur le moment comme moyennement agréables :
– Je me souviens d’une fois quand j’avais dans les 20 ans, de ma petite copine de l’époque qui avait pouffé quand je lui avais éjaculé sur le ventre et les seins (pas parce qu’elle ne s’y attendait pas mais parce qu’elle ne connaissait pas trop la sensation). Ca casse un peu le plaisir parce que ça nous fait regarder la situation d’un point de vue extérieur comme dit Léa : du liquide qui sort et qui coule sur l’autre.
– Avec une fille, plus récemment (mais pas ma Léa-minette adorée, elle mangerait tout ce qu’on lui donne !) : j’avais ressorti mon doigt de son sexe pour venir le porter à ses lèvres. Elle ne s’attendait pas à ce que mon doigt soit mouillé et elle a tourné la tête avec un ton de dégoût : « aaaaah ! ». Je ne m’attendais pas à ce que ça lui déplaise (et ça m’a fait débander un peu !). Sur le coup, je me suis senti dans un degré différent de « coquinerie » avec cette fille, et ça m’a fait me sentir d’une certaine manière vicieux dans un sens négatif. Ca s’est vite arrangé parce qu’elle a voulu que je lui refasse plus tard, et elle a trouvé ça finalement excitant. Evidemment, là, ce n’est pas de sa faute, c’est juste que c’était un peu inédit et inattendu pour elle.
– Une amante qui était en train de me masturber et dont j’ai surpris, à son expression et à son regard lointain, qu’elle pensait à toute autre chose. Je lui ai dit et elle l’a reconnu (mais ce n’est pas la première fois que je sentais ça avec elle). C’est assez inhibant et désexcitant, cela nous fait nous sentir un peu seul dans le moment sexuel et du coup un peu crade vis à vis de notre excitation (par cette prise de recul). Ca ne me viendrait pas à l’idée de lire un bouquin pendant que je caresse ma copine (sauf si c’est un jeu, évidemment). Mon plaisir passe beaucoup par le plaisir de l’autre, sinon ça devient une masturbation solitaire devant témoin.
Smoke Runneuz, tu rapportes à ton tour un garçon qui jouit « sans signe extérieur de jouissance », et c’est un exemple qui est revenu ici à chaque contribution féminine. C’est donc un truc assez fréquent et à mon avis trop pour que ce soit juste une question d’attitude personnelle. Pour y avoir un peu réfléchi, je me demande si ce n’est pas quelque chose en rapport avec l’expression de la virilité. Les femmes peuvent plus facilement se lâcher parce qu’il est acquis qu’elles sont sensibles et expriment leurs émotions. Alors que les hommes sont plus pudiques vis à vis de leurs sentiments et de leur intimité. C’est donc plus difficile pour un homme de s’abandonner dans l’émotion, que ce soit dans l’expression du plaisir sexuel comme de l’expression de ses émotions dans sa vie sociale de manière générale. Nous tendons à essayer de nous montrer inflexibles, quelles que soient les situations. Ne serait-ce pas le fond du problème ? Auquel cas, c’est en renforçant la complicité sexuelle et en en parlant que l’on peut leur faire corriger le tir (sans jeu de mots).
@ Sandrine : Où sont les hommes, c’est vrai ! A croire que ça ne les intéresse pas plus que ça.
Oh oui, enlève ta culotte ! ;-)
« Disons qu’entre filles, on va plus facilement se dire ce qu’on aime ou pas et je vois difficilement les potes de mon homme se dire entre eux « oulala j’ai pris un doigt dans le fion fion c’était extra t’en penses quoi? » »
-> Très très drôle ! :-D
Je vais disgresser un peu sur le sujet initiale:
Pour ma part 37 ans, célibataire de nouveau aprés 8 ans de couple et une dizaine d’année de vie sexuelle avant; environ 10 femmes sur les 6 derniers mois et je dois dire que plus ça va plus j’apprécie la sexualité des femmes aprés 35 ans….bon ça reste variable néanmoins mais je les trouve plus à l’aise avec leur corps et leur sexualité :elles ont presque une sexualité « masculine » à cet âge alors que les hommes en vieillissant auraient tendance à devenir plus cérébraux. Comme si nous étions appelés à nous rejoindre avec le temps….
Par contre je suis tout à fait d’accord avec ta réponse sur la normalisation intensive que nous subissons: la culpabilisation des pratiques est devenue un sport national…les « ne plus » et autres « ne pas » fleurissent sur toutes les devantures, sur toutes les bouches. On est regardé comme des malades ou comme des condamnées… Il faut manger bio, ne plus fumer, ne pas boire, mettre des préservatifs , ne pas aller vite en voiture, ne pas prendre la voiture, faire du sport, manger 5 fruits et légumes par jour, ne pas manger gras, salés , sucrés, se désinfecter les mains, ne pas trop utiliser de portables…..
Alors bien sûr c’est inconscient et trés politiquement incorrect de parler ainsi mais bon on assiste à la mise en place de nouvelles idéologies hygiénistes et normatives trés fortes …..putain…va t’il falloir attendre 2068 avant de pouvoir de nouveau s’éclater!!??
wouaouh, quelle captcha ! ;)
sinon, merci de ta visite, laquelle m’a fait découvrir cet espace pour le moins intéressant… je vais prendre le temps d’explorer, à mon tour !
(ouh, jolie faute dans la première phrase, bref…)
et sinon, pour vos questions, voulez vous que j’y réponde ici, ou sur mon blog, à l’occasion d’un nouvel article ?
@ fardadet : Merci pour ton témoignage ! Effectivement, l’épanouissement va normalement de paire avec l’âge. Je me demande si un jeune de 18 ans aujourd’hui n’est pas plus désinhibé / épanoui que « nous » ne l’étions au même âge ?
Flûte, quel âge j’aurai en 2068 ?!
@ Succuba : Hmm… Ce n’est pas que je sois inspiré par la jolie petite image en noir et blanc mais j’ai envie de répondre : les deux mon capitaine ! :-)
Je me permet de nouveau un commentaire …suite à ta réponse:
« Je me demande si un jeune de 18 ans aujourd’hui n’est pas plus désinhibé / épanoui que « nous » ne l’étions au même âge »…
A priori je ne suis pas sûr qu’il soit plus « épanoui » car on traine toujours quelque soit les générations les mêmes complexes, les mêmes inhibitions mais ils s’expriment différemment… je crois surtout qu’on assiste à une certain consumérisation des rencontres et de leur aboutissement logique: des pratiques sexuelles…Ton blog et la façon dont tu recences la liste des « bonnes pratiques » sexuelles (cf. les ‘best practices’ dans les sociétés) sont à ce titre révellateurs …
A ce titre je pense qu’au contraire, les pratiques amoureuses sont presque devenues normalisées par la société…comme si on se devait d’avoir au minimum la liste des prestations que tu cites pour être un « bon coup »….et vu que la ‘norme’ s’est élevée, du coup il est possible que les jeunes actuellement en arrivent à avoir des pratiques plus « extrèmes » pour s’inscrire dans la transgression (homosexualité, plan à plusieurs, prise de drogues, sm, bondage…)
Je trouve dommage qu’on en arrive à une telle pression normative sur ce qui peut se passer dans nos lits mais bon il est vrai que notre sexualité est aussi le reflet de notre société…Nous sommes loin du XIX eme siècle où un homme pouvait défaillir à la vue d’une parcelle de jambes féminine…..
@ fardadet : Tu as raison, « épanoui » est sans doute un mot inapproprié. Je pense que l’on traîne les mêmes inhibitions comme tu le dis mais je pense qu’elles sont nettement moins fortes que celles de notre génération à âge égal. Et je ne dis pas ça que parce que je me suis laissé bousculer par les « Skins parties » de Zone Interdite. De la même façon que je me sentais moins inhibé et plus libéré que la génération de mes parents quand j’avais 18 ans, je pense que les 15-20 ans d’aujourd’hui se sentent également beaucoup plus libérés que nous ne l’étions nous-même (et pourtant, il n’y a qu’un écart de 10 à 20 ans !). J’ai d’ailleurs quelques anecdotes en tête qui sont assez éloquentes.
Je me suis beaucoup attaché dans ce post, comme tu as dû le lire, à rappeler que le plaisir et la complicité sexuelle passaient par une similitude dans les envies et justement pas par une performance au lit ni une liste de prestations. Un « bon coup » est une affaire très subjective. Un « bon coup » pour l’un peut être un pauvre coincé pour un autre et un sale pervers pour un troisième. Mais effectivement, comme tu le soulignes, la norme va vers un « enhardissement » des pratiques. Ma liste n’est pas une liste des bonnes pratiques mais je comprends bien que ça puisse en laisser l’impression et que, comme tout le monde, je tends à considérer que mes pratiques sont les bonnes. Je voulais surtout par ce tableau donner un aperçu de la proportion des filles ouvertes à telles et telles choses, ce qui est toujours un enseignement.
Tu as raison sur la pression et il y a certainement un conflit entre ce dont les jeunes ont réellement envie et ce dont ils se sentent obligés de faire pour être transgressifs. Mais gageons qu’une partie en profite pour être simplement plus désinhibés et mieux profiter de leur vie sexuelle.
Le sexe c’est très bien. C’est génial. Mais sachez que le virus du SIDA ne contamine pas uniquement les autres. Faites attention : ce n’est pas écrit sur le front : j’ai le SIDA. Des gens très bien ont le sida.
La contamination se fait par les sécrétions vaginales et le sperme. (pénétration,fellation,cuni,sodomie). Il suffit d’ une fois pour être contaminé. C’est ce qu’il faut garder à l’esprit.
Je parle en connaissance de cause lorsque je dit ça.Apres, il est trop tard pour pleurer. Si il est certain que l’on va tous mourir, je crois que l’on préfère mourir en ayant souffert le moins possible.
C’est amusant… Faire des statistiques pour ce genre de chose… Cela ne me viendrait pas à l’esprit.
Je m’imagine mal remplir mon tableau Excel dès qu’une nouvelle donnée arrive.
Enfin c’est amusant à lire donc il faut bien que quelqu’un s’y colle ! Merci !
Finalement au lycée, les statistiques, j’avais horreur de ça ! Là c’est quand même plus agréable :)
C’est amusant de lire les petites histoires de sexe des autres… je suis voyeuse :p
Pour répondre à tes questions : je ne sais pas si TANT d’hommes que sont dégoûtés par le cunni, mais mon homme à moi m’en fait deux par ans tout au plus, et encore il faut que je les réclame, que je les gagne (oui oui que je les gagne à des jeux bidons genre pile ou face !) ou qu’on fixe une date. A force de le voir aussi débecté je finis par moi-même être gênée les rares fois où il me le fait… L’impression de lui faire manger ma merde tellement je dois le lui arracher, ce cunni ! Bref, bonjour l’épanouissement sexuel :p
La jouissance est toujours différente selon le rapport sexuel qui l’a entraîné je trouve ! Logique, lorsque c’était bien sauvage, l’orgasme de mon homme est un poil plus sauvage que d’habitude, il fait des gémissements plus bruyants tout ça tout ça, limite j’ai le droit à une malaxation des seins genre ultra douloureuse, mais c’est pour la bonne cause… Alors que parfois, dans des rapports tout doux, je ne me rends même pas compte qu’il jouit, et ça me FRUSTRE j’ai l’impression d’avoir été mauvaise si ce n’est pas exprimé correctement… (le syndrôme de la performance existe aussi chez les femmes ^^)
Ce qui m’excite le plus : un bel orgasme qui donne l’impression que j’ai bien fait mon taff :p Un orgasme un peu bruyant (mais pas trop), avec des gémissements qui ne ressemblent pas à ceux d’un papi malade, et le plus excitant, qu’il dise mon prénom en jouissant. Oui bonjour l’egocentrisme, je sais, mais bon ! (au moins il aura pas pensé à sa putain de Megan Fox…) ^^
Ce qui me rebute : un orgasme mou et silencieux, généralement lorsque ça arrive, le mec n’a pas été particulièrement vivace pendant le rapport donc c’est une conclusion tout aussi chiante que le rapport en lui-même. et aussi, au contraire un orgasme trop exagéré me ferait tout bizarre… Ca ne me paraîtrait pas très naturel :)
L’une des seules particularité dans lesquelles je me retrouve c’est la fille qui est hypersensible physiquement après l’orgasme ! Comme j’aimerais avoir 8 orgasmes d’affilés… Malheureusement, j’ai beau être toujours en manque, mon corps fait chier, dès que j’ai UN orgasme, il ne faut plus me toucher, j’ai besoin d’une pause sinon je pousse des cris de douleurs atroces (il faut avoir un clito pour comprendre :p)
Pour ce qui est de la culotte la nuit, je peux comprendre… Moi aussi j’ai l’impression que quelque chose peut couler quand je dors :) et puis dormir sans culotte c’est parfois gênant dans la mesure où habitant chez mes parents, j’ai passé 19 ans à dormir en culotte par respect pour eux, et surtout par peur qu’en rentrant dans ma chambre un matin, mon cul et mes cuisses écartées leur sautent à la figure ! Les rares fois où je dors sans je me sens très mal à l’aise, je ne pense pas qu’on puisse blâmer quelqu’un pour ça, ce sont parfois des automatismes qui remontent à fort fort lointain … Quand j’habiterai chez moi, il me faudra bien 10 ans pour accepter l’idée qu’en pleine nuit personne ne s’introduira dans mon appartement et viendra me reluquer l’entrecuisse si j’ose dormir nue. Bref, voilà voilà, c’était the big sequence où je raconte ma vie …
Si ça a pu éclairer tes questionnements par rapport aux ressentiments sexuels des femmes ! :p
Les commentaires sont fermés.